Actualités : Espace

Notre galaxie vue en infrarouges par le satellite COBE. Le bulbe
et le disque ont été (grossièrement) localisés ; le halo, invisible et sphérique,  est tout autour.
La galaxie spirale NGC1365 dans la constellation du Fourneau, vue par le Very Large Telescope
Le télescope de 193 cm de l'Observatoire de Haute-Provence
Le système de 55 Cancri vu depuis les parages de sa nouvelle planète, placée sur une orbite Jupiterienne.
L’amour, toujours l’amour… Les galaxies ne perdent pas de temps : un premier baiser, et les étoiles naissent par milliers ! Sur cette image, qui est en fait une interprétation numérique de l’intensité du rayonnement X, la température croit du rouge au bleu, en passant par le vert.
M42, la grande nébuleuse d’Orion, zone de formation stellaire dans laquelle la rotation des jeunes étoiles a été étudiée
Ce schéma compare la taille d'une étoile à neutrons et d'une étoile à quarks par rapport au Grand Canyon en Arizona. Plus petite et dense, l'étoile à quarks serait constituée de quarks. Mais bien des mystères subsistent au sujet de ces astres encore hypothétiques.
Jadis les marins naviguaient aux étoiles, aujourd’hui ce sont les astronomes qui regardent d’où vient le vent stellaire avant de confronter leur théories à la périlleuse traversée des publications scientifiques…
Le disque circumstellaire qui enserre notre propre système solaire se révèle sur cette image du satellite COBE, prenant la forme d’une élégante arabesque bleutée. Alors que COBE devait uniquement enregistrer les fluctuations du fond cosmologique à 3 degrés Kelvin, il a également surpris le rayonnement infrarouge très faible du dique local de poussières, rayonnant lui aussi à très basse température. Les anglo-saxons ont un joli nom pour caractériser ce genre de découvertes au petit bonheur : la Sérendipité. Bien que ce mot soit d’origine latine, il ne figure pas au dictionnaire, et nous revient défiguré d’outre-Atlantique. Mais que fait l’Académie ?
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