Recherche : gaz

Cette remarquable image composite d’Emmanuel Mallart nous permet d’embrasser simultanément du regard les 3 types de nébuleuses gazeuses :  en émission en bas à droite (M42), par réflexion juste au dessus, et enfin par absorption en haut à gauche, la fameuse nébuleuse de la tête de cheval se détachant sur fond rouge.
La nébuleuse planétaire M57 photographiée par des astronomes amateurs du Nord de la France à travers un télescope de 22,5cm (posé 1h40 quand même !).
Le satellite Titan vu par la sonde Voyager 2.
Une représentation du milieu interstellaire au voisinage du Soleil.
La nébuleuse de la tête de sorcière est une nébuleuse par reflexion : sa lumière provient de la lumière d'étoiles alentour diffusées par les gaz qui la composent.
Galaxie spirale NGC 4631. Composition d’image en rayons X (télescope Chandra) et UV (Télescope Spatial Hubble). Le disque de la galaxie apparaît en rouge, le halo est visible en bleu. Les régions les plus brillantes du disques sont des régions de formation d’étoile (population de type I). Ces images révèlent (pour les spécialistes) la présence d’un gaz chaud dans le halo chauffé par les régions du disque où se forment des étoiles. Ce gaz est néanmoins très peu dense par rapport au gaz présent dans le disque. Les étoiles du halo (type II)brillent peu en rayons X et UV.
On représente les particules d’un gaz froid enfermé dans un « trou » (ou une boite). Le fond du trou est au milieu de la parabole. L’énergie des particules est représentée par leur hauteur. Dans une petite boite, tous les niveaux d’énergie ne sont pas possibles. Les niveaux possibles sont marqués par des lignes horizontales. 
Prenez un gaz formé de bosons, refroidissez le, et mettez le dans un trou. Les bosons se mettent au fond du trou, tous avec l’énergie la plus faible possible. Avec des fermions, cela n’est pas possible, chaque fermion a un état différent des autres : si il est au fond du trou, il a une énergie différente des autres fermions placés comme lui au fond du trou. Donc, les fermions occupent plus de niveaux d’énergie que les bosons. Contrairement aux bosons, on ne peut pas empiler autant de fermions que l’on veut : une fois que tous les niveaux d’énergie sont remplis, on ne peut pas ajouter de nouveaux fermions. C’est de là que vient la pression de Fermi.
Les variations de la température cosmique (de l'ordre de quelques dizaines de micro-Kelvin) mesurées ici par le satellite COBE permettent de déduire les fluctuations de densité de l'univers primordial.
Image radio de J1148+5251, une des plus lointains quasars connus à ce jour. Il s'agirait du coeur d'une galaxie tel qu'il se présenterait seulement 870 millions d'années après le Big Bang, soit  il y a 12,8 milliards d'années.
La galaxie elliptique NGC 4365 entourée d’amas d’étoiles qui permettent de déterminer précisément les contours de son halo
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