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La désintégration radioactive naturelle représentée ici, est la source d’énergie des générateurs radio isotopiques. Elle n’est pas aussi puissante que la fission nucléaire.
La navette spatiale a recours au carburant chimique – comme tous les autres lanceurs jusqu’ici – pour s’arracher à l’attraction terrestre.
A 375 kilomètres au-dessus du sol, la Station Spatiale Internationale est alimentée en énergie par ses panneaux solaires
Voici l'aspect des données que fournissent les quatres sondes de CLUSTER.
Cette figure montre les mesures d'une expérience d'analyse des ondes
recueillies lorsque les sondes traversaient le choc qui se situe en amont de la
magnétosphère.
Les minuscules flammes en boule qui se forment en microgravité sont difficiles à voir. Celles-ci ont été filmées dans le noir par une caméra vidéo hyper sensible à bord de la navette Columbia en 1997
L’astronaute Janice Voss (sœur de l’auteur original de cet article) surveille une expérience de combustion à bord de Columbia en 1997
Représentation schématique de la flamme en boule. A la périphérie de la sphère, en bleu clair, la zone de combustion proprement dite. A l’intérieur, en vert, s’accumulent des produits de la combustion. Les flèches vertes indiquent le chemin centripète de l’oxygène et du carburant, les flèches bordeaux le mouvement centrifuge de la chaleur et de certains sous-produits de la combustion. La température diminue avec la distance à la flamme, à l’inverse de la concentration en carburant.
Le système nerveux des robots du futur utilisera peut-être les fluides MR pour mimer les comportements du vivant
Si elle est sauvée, la sonde CONTOUR rendra visite au noyau de la comète Encke en novembre 2003 et à Schwassmann-Wachmann en juin 2006. Mais rien n’est joué.
Sur ce montage, on voit les deux traînées laissées par deux morceaux de la sonde CONTOUR. Ainsi, si le contact a été rompu avec la Terre, c’est sans doute à cause d’une explosion qui a sûrement désorienté le corps de la sonde.
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