Recherche : vide interstellaire

Les échos de lumière de V838 : le film
M 42 : les nuages de la Nébuleuse d'Orion
Le télescope spatial CHIPS
L’étoile la plus brillante du complexe de formation d’étoiles Sco-Cen est sans conteste la géante rouge Antarès, qui donne ici une coloration jaune à la nébuleuse située au coin supérieur gauche de cette image. Antarès sera peut-être la prochaine supernova à exploser dans Sco-Cen mais, située à 500 années-lumière de distance, elle ne présentera aucun danger pour la vie sur Terre
A 375 kilomètres au-dessus du sol, la Station Spatiale Internationale est alimentée en énergie par ses panneaux solaires
M42, la grande nébuleuse d’Orion, zone de formation stellaire dans laquelle la rotation des jeunes étoiles a été étudiée
Le disque circumstellaire qui enserre notre propre système solaire se révèle sur cette image du satellite COBE, prenant la forme d’une élégante arabesque bleutée. Alors que COBE devait uniquement enregistrer les fluctuations du fond cosmologique à 3 degrés Kelvin, il a également surpris le rayonnement infrarouge très faible du dique local de poussières, rayonnant lui aussi à très basse température. Les anglo-saxons ont un joli nom pour caractériser ce genre de découvertes au petit bonheur : la Sérendipité. Bien que ce mot soit d’origine latine, il ne figure pas au dictionnaire, et nous revient défiguré d’outre-Atlantique. Mais que fait l’Académie ?
La Grande Nébuleuse d'Orion
À 111 millions d’années-lumière de la Terre, dans la constellation du Centaure, NGC 4622 déploie ses bras spiraux dans toute leur splendeur. À l’envers ou à l’endroit  ?
Vue d'artiste d'un sursaut gamma accompagné d'une émission tardive en optique, tel qu'il fut observé par le satellite Beppo-Sax
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