Science @ NASA : Industrie spatiale

Les trois moteurs principaux de la navette sont gavés d’oxygène et d’hydrogène liquide grâce à l’énorme réservoir extérieur orange.
Un moteur de navette subit un test de mise à feu à pleine puissance au centre Spatial Stennis
Un « piège à antimatière » développé à l’Université d’état de Pennsylvanie emmagasine les antiprotons.
Allez dehors la nuit venue et regardez le ciel. Chaque étoile que vous pouvez voir est un réacteur à fusion. Les scientifiques aimeraient bien domestiques cette puissance pour propulser les vaisseaux spatiaux du futur et produire l’énergie des colonies lointaines.
La désintégration radioactive naturelle représentée ici, est la source d’énergie des générateurs radio isotopiques. Elle n’est pas aussi puissante que la fission nucléaire.
La navette spatiale a recours au carburant chimique – comme tous les autres lanceurs jusqu’ici – pour s’arracher à l’attraction terrestre.
A 375 kilomètres au-dessus du sol, la Station Spatiale Internationale est alimentée en énergie par ses panneaux solaires
1