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Le Diagramme Hertzsprung-russell. La zone entourée et marquée d'un "M" correspond à la localisation des très petites étoiles de classe M. La position du soleil est également indiquée ("Sun")
Les variations de la température cosmique (de l'ordre de quelques dizaines de micro-Kelvin) mesurées ici par le satellite COBE permettent de déduire les fluctuations de densité de l'univers primordial.
Un fin voile nuageux masque le croissant lunaire surexposé, mais laisse voir la lumière cendrée, cette pâle lueur qui suffit à éclairer la surface lunaire normalement plongée dans l’obscurité. On y distingue faiblement mers et cratères.
Sirius A, et sa compagne Sirius B, une naine blanche, plus chaude mais moins brillante car très petite (5800 km de rayon).
La nébuleuse planétaire M57 photographiée par des astronomes amateurs du Nord de la France à travers un télescope de 22,5cm (posé 1h40 quand même !).
Pluton et son satellite Charon vus par le télescope Japonais Subaru
Régolithe lunaire en cours de prélèvement lors de la mission Apollo 12.
Spectre lumineux d'une source artificielle (ampoule électrique)
L'étoile supergéante Bételgeuse vue par le télescope spatial Hubble. C'est la première image non ponctuelle d'étoile obtenue par le télescope spatial. La position de l'étoile dans la constellation d'Orion est montrée, en haut à gauche, marquée d'une croix. Elle est facile à contempler depuis l'Europe en hiver, le soir. Les orbites de la Terre et de Jupiter sont indiquées, pour comparaison avec le diamètre de l'étoile.
Le satellite Thetys vu par la sonde Voyager 2 en 1981.
On voit sur la moitié supérieure de l'image une énorme
faille. Elle a plusieurs kilomètres de profondeur. Elle
pourrait être due à un craquement de la surface déjà solidifiée
de Téthys survenu lorsque l'intérieur du satellite refroidissait
et que le diamètre global du satellite diminuait.
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