Recherche : poles de la terre

A la recherche des météorites en Antarctique
Brillantes aurores finlandaises capturées le 7 septembre 2002
A 375 kilomètres au-dessus du sol, la Station Spatiale Internationale est alimentée en énergie par ses panneaux solaires
Une aurore au-dessus de l'Antarctique
Grosse ambiance autour d’Uranus ce soir-là, qui laissait apparaître son système d’anneaux en lumière infrarouge. Ariel et Miranda étaient également de la partie.
Le disque circumstellaire qui enserre notre propre système solaire se révèle sur cette image du satellite COBE, prenant la forme d’une élégante arabesque bleutée. Alors que COBE devait uniquement enregistrer les fluctuations du fond cosmologique à 3 degrés Kelvin, il a également surpris le rayonnement infrarouge très faible du dique local de poussières, rayonnant lui aussi à très basse température. Les anglo-saxons ont un joli nom pour caractériser ce genre de découvertes au petit bonheur : la Sérendipité. Bien que ce mot soit d’origine latine, il ne figure pas au dictionnaire, et nous revient défiguré d’outre-Atlantique. Mais que fait l’Académie ?
Deux concentrations de poussière provoquées par les résonnances gravitationnelles d’une seule planète ? C’est ce que semblent indiquer les simulations du Harvard-Smithsonian. Outre une exoplanète de plus autour de Véga, on tient peut-être là une méthode inédite de détection de ces nouveaux Mondes…
Aurores saturniennes
Simulation de ce à quoi Mars pourrait ressembler aujourd'hui si son eau primordiale était restée à l'état liquide. Une deuxième planète bleue.
Le cerveau de Jupiter
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