Recherche : lem apollo vu par sonde

Les nébuleuses rouges réparties le long des bras de la galaxie des Chiens de Chasse sont des nuages d’hydrogène ionisé appelé régions H II. De ces nébuleuses naissent et naîtront de très nombreuses étoiles.
Lors d’une conjonction inférieure, Vénus ou Mercure sont « devant » le Soleil. Leur élongation est minimale.
On sait que de nombreux astéroïdes ont de plus petits astéroïdes satellisés autour
d'eux. Dactyle a été le premier satellite d'astéroïde découvert. C'est un rocher
de 1,5 km, tournant autour de l'astéroïde Ida (50 km de diamètre).
Le satellite Titan vu par la sonde Voyager 2.
Le satellite Thetys vu par la sonde Voyager 2 en 1981.
On voit sur la moitié supérieure de l'image une énorme
faille. Elle a plusieurs kilomètres de profondeur. Elle
pourrait être due à un craquement de la surface déjà solidifiée
de Téthys survenu lorsque l'intérieur du satellite refroidissait
et que le diamètre global du satellite diminuait.
Une représentation du milieu interstellaire au voisinage du Soleil.
Un fin voile nuageux masque le croissant lunaire surexposé, mais laisse voir la lumière cendrée, cette pâle lueur qui suffit à éclairer la surface lunaire normalement plongée dans l’obscurité. On y distingue faiblement mers et cratères.
Le Diagramme Hertzsprung-russell. La zone entourée et marquée d'un "M" correspond à la localisation des très petites étoiles de classe M. La position du soleil est également indiquée ("Sun")
Galaxie spirale NGC 4631. Composition d’image en rayons X (télescope Chandra) et UV (Télescope Spatial Hubble). Le disque de la galaxie apparaît en rouge, le halo est visible en bleu. Les régions les plus brillantes du disques sont des régions de formation d’étoile (population de type I). Ces images révèlent (pour les spécialistes) la présence d’un gaz chaud dans le halo chauffé par les régions du disque où se forment des étoiles. Ce gaz est néanmoins très peu dense par rapport au gaz présent dans le disque. Les étoiles du halo (type II)brillent peu en rayons X et UV.
On représente les particules d’un gaz froid enfermé dans un « trou » (ou une boite). Le fond du trou est au milieu de la parabole. L’énergie des particules est représentée par leur hauteur. Dans une petite boite, tous les niveaux d’énergie ne sont pas possibles. Les niveaux possibles sont marqués par des lignes horizontales. 
Prenez un gaz formé de bosons, refroidissez le, et mettez le dans un trou. Les bosons se mettent au fond du trou, tous avec l’énergie la plus faible possible. Avec des fermions, cela n’est pas possible, chaque fermion a un état différent des autres : si il est au fond du trou, il a une énergie différente des autres fermions placés comme lui au fond du trou. Donc, les fermions occupent plus de niveaux d’énergie que les bosons. Contrairement aux bosons, on ne peut pas empiler autant de fermions que l’on veut : une fois que tous les niveaux d’énergie sont remplis, on ne peut pas ajouter de nouveaux fermions. C’est de là que vient la pression de Fermi.
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